#Montpellier #orchestre #opera #concert #oonm
#KaHouFan et l’Orchestre national Montpellier Occitanie
Bonis • Strauss • Beethoven
vendredi 7 février
20h30
#Gignac | Le Sonambule
samedi 8 février
20h30
#Lunel | Salle Georges-Brassens
dimanche 9 février
17h00
#Castelnaudary | Halle aux Grains
Au Programme:
#MelBonis (1858 – 1937)
Trois Danses pour orchestre
Richard #Strauss (1864 –1949)
#Concerto pour Cor n°2 en mi bémol majeur
Ludwig van #Beethoven (1770 –1827)
Symphonie n° 7 en la majeur opus 92
Le chef d’orchestre Ka Hou Fan et les musiciens de l’Orchestre national Montpellier Occitanie sont toujours enthousiastes d’aller à la rencontre des publics en région, pour faire rayonner leur art et partager leur passion. En première partie, découvrez la virtuosité époustouflante du cor dans le Concerto n°2 de #RichardStrauss. Œuvre emblématique du répertoire pour #cor, interprétée ici par le corniste solo de l’Orchestre #SylvainCarboni, cette pièce explore les possibilités expressives de l’instrument, éblouissant l’auditeur par sa grande puissance émotionnelle. Strauss, maître de l’orchestration, crée un dialogue magistral entre le soliste et l’orchestre, transportant l’auditoire dans un univers sonore à la fois somptueux et intime. Puis, place à la Symphonie n°7 de Beethoven ! Du célèbre Allegretto, empreint de gravité et de solennité, aux mouvements vigoureux et jubilatoires qui l’encadrent, cette symphonie incarne la quintessence du génie créatif de Beethoven et résonne encore aujourd’hui avec une force intemporelle.
#Montpellier #orchestre #opera #concert
Au Programme
#IgorStravinsky (1882 – 1971)
Symphonies d’instruments à vent
#KurtWeill (1900 – 1950)
Das Berliner Requiem
#Valentin Silvestrov (né en 1937)
Ode à un rossignol
#SofiaGoubaïdoulina (née en 1931)
Rubayat
#ArnoldSchoenberg (1874 – 1951)
Friede auf Erden opus 13
vendredi 7 février
20h00
samedi 8 février
20h00
En décembre 1928, Kurt Weill répond à une commande de la Radio de Francfort afin de commémorer le dixième anniversaire de la Première Guerre mondiale. Contrairement à ce que son titre laisse penser, son Berliner Requiem (1928) sur des poèmes si forts sur la guerre de Bertolt Brecht, est une cantate totalement profane. Il ressort de l’ensemble une couleur sonore particulière au service de l’engagement artistique des deux artistes, en hommage à Rosa Luxemburg, figure centrale et pacifiste assassinée le 15 janvier 1919.
Cette œuvre est mise en regard avec les Symphonies d’instruments à vent de Stravinsky, mais aussi avec Friede auf Erden de Schoenberg, et la mystérieuse et magique cantate Ode à un rossignol (1985) de Valentin Silvestrov, patriarche de la musique ukrainienne. Cette musique de la suggestion dessine avec une infinie délicatesse, au moyen de sonorités fragiles et éphémères, ce mélange de nature, de paysages et de réflexion sur le destin esquissé par le poète anglais John Keats dont les premiers vers donnent toute la mesure de l’oeuvre : « Dans le noir, j’écoute ; oui, plus d’une fois j’ai été presque amoureux de la mort ».
Un rendez-vous à ne pas manquer qui inaugure une manifestation annuelle en hommage aux artistes et compositeurs contraints à l’exil.